Nutrithérapie

« Le médecin soigne, la Nature guérit »: Proverbe chinoisVidéo »

Toute vérité franchit trois étapes. D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence. » Alors pas de découragement.

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Réduction de – 20 % pour les locataires du chalet

THERAPEUTE agréé ASCA et utilisant les technologies de physique quantique suivantes: PHYSIOSCAN ® Recherche de dysfonctionnement et ré équilibration par Métathérapie , OLIGO-CHECK ® Recherche de Métaux lourds et Bilan des Minéraux et Oligo-éléments et CARDI-CHECK  permet de suivre le degré d’oxygénation des cellules à l’aide d’un oxymètre et de calculer la tonicité et l’élasticité des parois artérielles. (Equilibre entre résistance et Elasticité).

MILTALED ® (Utilisation des fréquences vibratoires et chronothérapie et EQUILIOS ® Ré équilibrage hormonal dans le domaine de l’Endocrino-Psychologie par stimulation de la thyroïde avec des ondes vibratoires en basses fréquences.

OligoScan® a été remplacé par la plateforme « SO-CHECK »® réunissant Oligo-Check et Cardi-Check cités précédemment: Méthode par captation vibratoire peu connue pour mesurer la biodisponibilité des oligo-éléments et minéraux ainsi que l’intoxication des métaux lourds pas spectrophotométrie.

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 IRIDOLOGIE  

 « Lorsque vous mangez modérément vous n’aurez pas besoin de médecin et lorsque vous mangez n’importe quoi, le médecin ne vous sera d’aucune utilité »

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  Nutrition   Massage  Réflexologie Phytothérapeute   Aromathérapie Naturopathe Iridologie , PNL et Médecine quantique.

Vous aurez également l’occasion de bénéficier de consultations conseils en nutrition et santé. Ce sera pour vous l’opportunité dans un 1er temps de faire un bilan de votre profil Bio nutritionnel à l’aide d’un questionnaire santé et terrain biologique afin de pouvoir apporter les modifications nécessaires à votre alimentation si vous le souhaitez.

Durée de la première consultation: 1h30 au tarif de 70 euros. Ce sera l’occasion pour vous d’effectuer un bilan de votre terrain par une professionnelle en Nutrithérapie.

La rééquilibration du terrain se fera en 2 temps: Une première phase de détoxication ciblé (nettoyage cellulaire), le premier mois puis suivra une 2ème phase de restructuration cellulaire (nourriture intra et extra cellulaire en eau et électrolytes ), durant les 2 mois suivants.

Agréée ASCA demandez à votre assureur pour la prise en charge.
liste des assurances maladies suisses

Connaissez-vous la physique quantique ? lien site de physioquanta.

L’Oligoscan est basé sur cette nouvelle technologie, ainsi que le Physioscan qui me permettent dévaluer avec vous, la vitalité de l’ensemble de votre corps physique, et énergétique (Ethérique et Astral). Ce scanning de votre corps nous permet d’appliquer un programme de prévention anticipant les symptômes douloureux pouvant apparaître suite à un déséquilibre de votre organisme.

Nous dispensons également des cours appliqués en « crusine »* selon vos goûts en lien avec votre tempérament.

* Crusine: Cuisine à basse température (< 45 °C) afin de garder les enzymes et les vitamines indispensables à notre métabolisme.

En résumé ce moment sera pour vous l’occasion d’adapter de  manière personnalisée votre alimentation selon vos propres déséquilibres , maux divers ou douleurs « manifestations du corps physique », votre typologie sans oublier vos  goûts alimentaires. Privilégier la qualité, sentir les effets des différents aliments sur votre niveau d’énergie, votre digestion et surtout votre équilibre psycho-émotionnel.

De plus si vous vous sentez une affinité pour les plantes vous pouvez également bénéficier de consultations ciblées en Phytothérapie selon votre tempérament. Les Infusions, décoctions de plantes, Huiles essentielles, Hydrolats, Teintures Mères, Extraits de plantes sèches pourront également vous accompagner tout au long de votre processus de réquilibration énergétique.

Vous avez besoin de perdre du poids, vous le ferez sans vous en rendre compte, car vos goûts vont s’affiner naturellement. Vous serez attirés par ce qui est foncièrement bon pour votre corps physique et non satisfaire votre mental formaté par de nombreuses années d’habitudes culinaires ancestrales ou addictions compensatoires délétères.

Vos envies vont changer car vous sentirez davantage vos vrais besoins et vous ne serez plus attirés par les calories vides savamment promues par les lobbies industriels. Ces produits industriels satisfont nos émotions et nous abreuvent insidieusement de substances toxiques en tout genre (conservateurs, colorants, émulsifiants, exhausteurs de goût, pesticides …) qui créent insidieusement pour notre corps de l’inflammation et installe un véritable déséquilibre énergétique.

Soyez maître de vos désirs et écoutez davantage vos besoins en aliments vibratoires vivants tels que la Nature vous les donnent, ceux-ci seront toujours reconnus par vos cellules.

En voilà une qui ne prend pas beaucoup de temps pour cuisiner!DSC01306
Une mésange bleue vise l’entrée du nid où attendent impatients ses petits affamés. Ils  nichent chaque année entre 2 rochers  juste sous les escaliers de la rocaille de la maison à Juffly. 

à lire avec modération….

Les conseils de l’hygiéniste

Croyances et spiritualité

9 conseils pleins de bons sens: 

1) C’est sur une semaine, une saison voir une année qu’il faut répondre aux besoins de l’organisme et non pas en un repas. Respecter votre rythme biologique (lire point 8)
2) Aucun animal dans la nature n’a jamais mangé à heure fixe. N’hésitez-pas à ne manger que quand vous ressentez vraiment la faim, ce sera un vrai délice ou pourquoi pas, sauter un repas en se contentant de boire uniquement pour aider l’évacuation.
3) Buvez par petites quantités à chaque fois ( 1 verre d’eau max pour ne pas noyer les reins), au moins 20 min avant le repas et entre les repas, mais éviter de diluer vos enzymes digestives durant le repas.
4) Manger peu, surtout le soir afin de permettre au corps de fabriquer lui même ce qui lui manque par transmutation biologique.
5) Ne dépasser pas la proportion de 15  % de protéines pour obliger le corps à faire le ménage des protéines mutées.
6) Consommez moins et Bouger plus à toutes heures au lieu de manger tout le temps.
7) Lorsque vous ressentez la faim, demandez-vous tout d’abord si vous n’avez pas plutôt soif uniquement pour aider au drainage, avant de vous jeter sur la 1ère particule de nourriture qui vous tombe sous la main. La vraie faim se situe au niveau de nos glandes salivaires. Ne pas confondre avec  les gargouillis que l’on entend dans notre ventre qui représente la vidange gastrique ou intestinale. Cette phase d’évacuation, drainage est souvent confondu avec les signes de la faim, alors que le corps est entrain de drainer le tube digestif. Il nous suffit de l’aider en buvant de l’eau ou un jus de légumes frais élaboré avec un extracteur de jus. L’eau est plus importante pour ce qu’elle emporte et non pour ce qu’elle apporte, car les minéraux qu’elle contient sont sous forme minérale « cailloux » alors que nous sommes capables d’assimiler le végétal uniquement. L’eau contenu dans les végétaux est « végétalisée » elle est donc directement assimilable et elle nous nourrit; contrairement à l’eau minérale « cailloux » qui oblige les reins à transformer les cailloux en sels solubles pour être éliminé.
8) Respecter vos rythmes biologiques naturels:
Rythme des 3 cycles sur 24h: 8h/20h : Phase de nutrition, digestion. 20h/4h Phase de réparation, restauration cellulaire durant le sommeil. 4h/12h Phase de nettoyage, évacuation des déchets cellulaires liés à la restauration nocturne. En respectant ce rythme, vous faîtes un jeûne naturel sur 16h tous les jours car votre corps sera en repos digestif entre 20h et 12h le lendemain.
9) Moins chauffer votre habitation et mieux se couvrir vous fait respirer un air plus sain et vous ferez des économies d’énergie. Tout le monde s’en portera mieux (y compris la planète).

Bien sûr, il faut que tout cela reste strictement entre nous car si tout le monde respectait ces rythmes, la consommation alimentaire baisserait d’un tiers, la consommation pharmaceutique au moins de moitié. L’assurance maladie certes ferait beaucoup d’économies ….qui seraient complètement absorbées par les caisses d’assurance vieillesse car les gens vivraient en bonne santé surtout.Ce qui porterait un coup fatal à l’équilibre global du système actuel qui génère de l’économie sur la maladie.

Dites-donc à tout le monde de ne rien dire à personne….

Comme le dit André Aschieri : « Les maladies engendrent plus de dividendes pour les actionnaires du secteur pharmaceutique que la prévention ».

à méditer:
« Quand ouvrirons-nous les yeux à la compréhension que les maladies n’arrivent pas par hasard, elles ont un rôle à jouer et un message à nous délivrer : « Change tes habitudes toxiques, physiquement, émotionnellement et mentalement et écoute la voix de ton corps de lumière, qui t’enseignera les lois de la santé, ces lois universelles et immuables, qui depuis toujours montrent le chemin de la joie de vivre et de l’épanouissement de tous les personnages intérieurs qui sont en toi ! » BR

C’est grâce à la maladie (douleur) que tu te guéris de tes blessures, elle est l’expression du corps. Le « Mal te dit » de changer de cap, tu n’es pas dans la bonne direction, de ce qui répond à tes véritables besoins, de ce qui va dans le sens de la vie. N’es-tu pas entrain de d’auto détruire, t’auto consumer ? Nous portons parfois les blessures de l’humanité qui nous empêchent de nous incarner dans la matière et nous sommes inconsciemment délétère pour notre corps. Cette contradiction est le grand paradoxe de l’être humain. BR

à lire attentivement:
site Fruitarien.fr

anti-inflammatoiresApport protéines 15 % suffisentgraines chanvremagnésiumfercalcium
Controverse sur l’équilibre acido-basique: les fruits sont-ils alcalinisants ou acidifiants?
Certains thérapeutes affirment que les fruits sont alcalinisants. Ils recommandent d’en manger beaucoup et de suivre des cures de jus de citron, de raisin, de pommes, etc. D’autres thérapeutes affirment au contraire que les fruits sont acidifiants et qu’il faudrait plutôt les éviter ou ne les consommer qu’en petite quantité. Qui faut-il croire ? Comment deux avis si opposés peuvent-ils coexister ?

Les acides forts et faibles

Pour trouver la réponse à ces questions, il faut savoir qu’indépendamment du degré d’acidité que l’échelle du pH permet de mesurer, les acides peuvent avoir pour caractéristique d’être forts ou faibles. En effet, ils ne se présentent que rarement à l’état libre ou isolés, mais le plus souvent liés à des bases. Or, lorsque la base avec laquelle un acide se trouve associé est forte (chimiquement parlant), l’acide compte pour peu dans la liaison. Il est dit faible car il peut facilement être rejeté. A l’inverse, lorsque la base est faible, l’acide compte pour beaucoup. Il est stable, se combine mal avec autre chose et il est dit fort.

Les acides forts proviennent principalement des protéines animales. Il s’agit notamment des acides uriques, sulfuriques et phosphoriques. Leur évacuation nécessite un travail important de neutralisation du foie et un travail non moins important d’élimination des reins. Ces derniers ne peuvent d’ailleurs pas éliminer plus qu’une quantité bien définie d’acides forts par jour, l’excédent s’accumule alors nécessairement dans les tissus. La consommation de protéines animales doit donc être contrôlée en conséquence.

Mais ce sont les acides faibles qui nous intéresse. Ils sont avant tout d’origine végétale (hydrates de carbone et protéines végétales), exceptés ceux provenant des yogourts, du petit lait,… qui sont d’origine animale. Il s’agit de l’acide citrique, oxalique, pyruvique, acétylacétique, etc. Les acides faibles sont également dit volatils car, une fois oxydés, ils s’éliminent sous forme gazeuse par les poumons, en tant que vapeur d’eau et gaz carbonique (CO2). Cette élimination est facile à effectuer et n’est quantitativement pas limitée, comme c’est le cas avec celle des acides forts et non volatils par les reins. Lorsque l’organisme veut intensifier l’élimination des acides volatils, il lui suffit d’augmenter les échanges respiratoires. L’oxydation des acides faibles ne se fait cependant pas correctement chez tout le monde.

La faiblesse métabolique face aux acides

Un certain nombre de maladies sont dues à la difficulté qu’éprouve l’organisme à métaboliser correctement une substance nutritive ou une autre. Ces dernières, non transformées ou seulement de manière incomplète, stagnent dans l’organisme et le rendent malade en l’empoisonnant ou en le gênant dans son fonctionnement. Dans le diabète par exemple, la substance mal métabolisée est le sucre ; dans les rhumatismes, les protéines ; dans l’obésité les graisses ; dans la cœliaquie, le gluten ; dans la rétention d’eau, le sel. Il existe encore d’autres substances que l’organisme peut ne pas bien métaboliser, parmi elles figurent les acides.

Lorsque l’on parle de faiblesse métabolique face aux acides, il s’agit avant tout des acides faibles. Ils sont normalement faciles à oxyder et leur élimination par les poumons rend disponibles les bases fortes auxquelles ils étaient liés. Généralement, les aliments riches en acides faibles, tels les fruits, mais aussi le petit-lait, le yogourt, le vinaigre, apportent une foule de bases à l’organisme. Mais cela n’est vrai qu’en général, puisqu’il existe une catégorie de gens qui oxyde mal les acides faibles.

Chez ces personnes, les acides ne sont pas ou très mal oxydés. Ceux-ci restent, par conséquent, dans l’organisme sous forme acide. Ces personnes s’acidifient donc avec des aliments qui alcalinisent les autres gens !

Ainsi, selon l’organisme dans lequel il pénètre, un même aliment peut avoir différents effets, ce qui explique pourquoi certains diététiciens affirment par exemple que le citron est alcalinisant, alors que d’autres prétendent avec tout autant de bonne foi qu’il est acidifiant. Tous deux ont raison. La seule erreur est qu’ils ne précisent pas si l’organisme qui le reçoit est atteint ou non d’une faiblesse métabolique face aux acides.

S’adapter à ses possibilités métaboliques

Les gens souffrant de cette faiblesse doivent prendre des précautions supplémentaires par rapport à leur alimentation. Il est nécessaire qu’ils soient très mesurés avec les aliments riches en acides faibles, aliments qui, à cause de leur caractère acide, compose le groupe des « aliments acides ».

Habituellement, le groupe des « aliments acides » ne figure pas dans les classifications indiquées pour aider les gens à maintenir leur équilibre acido-basique. Les aliments y sont généralement divisés en deux groupes seulement : acidifiants et alcalinisants. Les aliments acides figurent parmi les aliments alcalinisants puisque, avec leurs acides faibles, ils ont un effet alcalinisant sur la majorité des gens. Mais au niveau pratique, l’absence d’une troisième liste (aliments acides) peut engendrer de graves problèmes chez les personnes souffrant de faiblesse métabolique face aux acides. Ces dernières peuvent en effet consommer de grandes quantités de fruits, de vinaigre, etc. dans le but d’alcaliniser leur terrain, et ainsi arriver exactement au but inverse !

Tableau des aliments acides

le petit lait : yogourt, lait caillé, kéfir, fromage blanc peu égoutté, …
les fruits pas mûrs ( moins le fruit est mûr, plus il est acide)

les fruits acides : les petits fruits : groseilles, cassis, framboises, fraises les agrumes : citron, pamplemousse, mandarine, organe certaines variétés de pommes (cloche), de cerises (griotte), de prunes, d’abricots,…

les fruits doux (surtout en excès) : melon, pastèque

les légumes acides : tomate, rhubarbe, oseille, cresson

la choucroute, les légumes lacto-fermentés
les jus de fruits, le jus de citron (dans la sauce à salade !)
le vinaigre

Ce groupe comprend des aliments dont l’effet alcalinisant ou acidifiant dépend des capacités métaboliques de l’organisme dans lequel ils pénètrent. Ils sont donc désignés non par leur effet (puisqu’il ne peut être défini à l’avance), mais en fonction de leur caractéristique propre qui est acide.

Comment savoir si l’on est sujet à une faiblesse métabolique face aux acides ?

Un moyen de le savoir consiste à augmenter momentanément la consommation d’acides faibles pour observer si les troubles d’acidification dont souffre déjà la personne empirent ou non. Effectivement, avec l’apport plus important d’acides faibles les douleurs articulaires doivent augmenter, les rougeurs cutanées s’étendre, la fatigue s’accentuer, la nervosité s’amplifier, les brûlures urinaires s’accroître, les démangeaisons s’intensifier, etc.

Par conséquent, le test consiste à consommer en quantités généreuses des fruits frais, des jus de fruits, yogourts, petit-lait, etc., et cela pendant 1 à 2 jours. Cette durée est généralement suffisante pour constater l’aggravation des symptômes. Chez les personnes très sensibles, les effets négatifs des acides se manifestent parfois déjà dans la demi-heure ou l’heure qui suit leur consommation. Un sentiment profond de mal-être apparaît, une brusque fatigue se manifeste (coup de pompe).

Heureusement, il n’est souvent même pas nécessaire de faire ce test. Il suffit de chercher dans ses souvenirs ce qui s’est passé dans des situations similaires. Des effets négatifs se sont-ils manifestés après une forte consommation de fruits, à la saison des abricots par exemple, ou après l’emploi d’une quantité importante de vinaigre, de yogourt, etc. Si des cures de raison, de jus de citron, etc. ont été effectuées dans le passé, quels ont été leurs effets ? Ont-elles été bénéfiques sur l’état général, redonnant des forces et faisant disparaître des maladies ? Ou, au contraire, les symptômes se sont-ils accentués et la vitalité s’est-elle atténuée ?

Dans le premier cas, il n’y a pas d’incapacité métabolique face aux acides, et l’acidification est avant tout due aux aliments acidifiants et au mode de vie. Par conséquent, les aliments acides peuvent être consommés car ils ont un effet alcalinisant.

Dans le second cas par contre, la faiblesse métabolique est bien présente. Elle est plus ou moins intense selon que l’aggravation des symptômes était forte ou non. Dans ce cas, il faut non seulement veiller aux quantités d’aliments acidifiants, mais aussi à celles des aliments acides.

Christopher Vasey